10 mois. À Paris. Pour voir si Paris bat toujours la mesure. Et comment elle battra la mesure de mes émois. Pour voir quelle chanson s'envolera dans le ciel de Paris. Pour voir si Paris s'éveille à 5 heures. Pour voir si je saurai écrire sur Paris sans chansons.

Monday, April 24, 2006

Aparté.

Une sensation récurrente me revient toujours lorsque je reviens à Paris, dans le métro, après quelques jours d’absence où j’ai virevolté dans d’autres villes. J’arriverais à Montréal et je n’aurais pas cette sensation. La sensation de ne pas pouvoir s’arrêter après avoir bougé beaucoup.

Ici à Paris, j’ai un genre d’agenda qui grossit de jour en jour, mais qui planifie tout à la dernière minute. J’aimerais souffler un peu, mais c’est comme si je n’avais pas le choix. Ni le choix de refuser, ni le choix de me plaindre… Là, ce soir, je vais voir Pierre Lapointe en spectacle, ensuite il y a un party d’au revoir pour une Québécoise qui quitte Paris et finalement vers 1h du matin, j’aimerais bien regarder le match Canadiens-Hurricanes dans un de ces pubs qui ont la télé par satellite… Évidemment, demain, c’est la reprise des cours à la fac…

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