10 mois. À Paris. Pour voir si Paris bat toujours la mesure. Et comment elle battra la mesure de mes émois. Pour voir quelle chanson s'envolera dans le ciel de Paris. Pour voir si Paris s'éveille à 5 heures. Pour voir si je saurai écrire sur Paris sans chansons.

Wednesday, December 21, 2005

Sans titre

Laurence ne sera pas contente. (Celle qui pleure)
Je n'écris encore rien. Juste des bribes qui font entrevoir certains sujets.
À ma défense, je pourrais prétexter le manque de communication entre mon ordi portable et Internet.

Je voulais marquer une pause maintenant étant donné que la période des fêtes est entamée dans l'esprit des gens. Je suis à Toulouse, dans à peu près 24 heures je serre la belle Émilie, je fête Noël comme la plupart des occidentaux, l'effervescence de Paris la veille du jour de l'an m'intrigue, Strasbourg se glisse entretemps... et après la rentrée avec tous ces travaux à redonner.

Tous ces événements, je les vis et ils sont trop enivrants pour que je les relaie dans l'oubli. Mais pour les raconter, il faut du temps. Et comme tout le monde, j'en manque.

Parler de Mik et Maria prendrait 35 heures, durée de mon périple à Toulouse .
Écrire sur la nostalgie cristalline de Montréal occuperait tout un hiver.
Anticiper le son du glas pour ma grand-mère figerait mon temps.
Mélancoliser mes amitiés outre-mer flouerait le plaisir que j'ai de vivre au présent.
Raconter l'amour embrouillerait mes pas.

Alors, je me contente de vous envoyer ces mots usés, mais sincères.
Joyeux Noël et Bonne Année.

Je le repéterai dans les cartes postales qui ne sont pas encore envoyées. Patientez encore. Je suis quelque peu désorganisé.

- Place vide à une citation    

0 Comments:

Post a Comment

<< Home