Cinéma Québécois
Aujourd'hui.
Je sors du Cinéma des cinéastes où se déroule la semaine des films québécois. J’ai pu me faufiler dans les dernières places disponibles pour la représentation de l’Audition de Luc Picard, et ce, de façon qu’on pourrait qualifier d’irrégulière.
Grâce à mon Pass-cinéma, je peux habituellement voir les films que je veux à ce cinéma, excepté les films spéciaux. J’ai pu voir Mémoires Affectives et Familia grâce à des amies qui m’ont invité. Pour l’Audition, je n’avais pas d’invitation, ni de laisser-passer.
J’ai donc pris un billet pour Manderley de Lars von Trier et me suis trompé volontairement de salle pour aboutir dans celle qui projetait l’Audition. Ostie de moi!
Tout ça a bien valu la peine car le premier long métrage de Luc Picard m’a agréablement ému. Facilement ému, mais tout de même ému.
Au sortir de la salle, j’aperçois Sébastien Rose, réalisateur de La vie avec mon père, et le félicite pour ses films que j’ai bien aimés. Ensuite, j’aperçois Élyse, une amie Québécoise, qui était sur le point d’entrer dans une autre salle.
Au moment où je viens pour la saluer, je me rend compte que mon téléphone portable n’est plus dans mon veston. Merdre! Encore! Je le retrouverai sous le siège où j’étais assis.
Au sortir de la salle (bis!), j’aperçois André Gagnon, un producteur et réalisateur avec qui j’ai « travaillé » il y a quelques mois (rouler des fils électriques et installer la caméra) pour un projet documentaire sur l’état du cinéma québécois. C’est grâce à ce projet que j’ai pu rencontrer Louis Bélanger, Bernard Émond, André Forcier et Denys Arcand. La chance.
Je retourne à l’instant au Cinéma en espérant rencontrer d’autres gens. Élyse devrait probablement bientôt sortir du film qu’elle voit. Je vais essayer de m’incruster à la projection du documentaire de 22h. Si ça ne marche pas, c’est pas grave… il y a du vin et des petites bouchées offerts!
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