10 mois. À Paris. Pour voir si Paris bat toujours la mesure. Et comment elle battra la mesure de mes émois. Pour voir quelle chanson s'envolera dans le ciel de Paris. Pour voir si Paris s'éveille à 5 heures. Pour voir si je saurai écrire sur Paris sans chansons.

Tuesday, November 22, 2005

Voir un ami pleurer

Comme le chantait Brel.

En fait, je ne le vois pas. On me l’a dit. Je l’imagine très bien et ça m’attriste.
Mon meilleur ami qui pleure parce qu’il s’ennuie.

L’alcool l’a sûrement mis à fleur de peau à ce moment-là. Ou peut-être pas. Mais là n’est pas la question.

L’amitié entre gars, c’est une chose. C’est quand même facile d’en parler.
La sensibilité entre gars, c’est une autre chose. Ce n’est pas facile d’en parler.

On a tout fait ensemble cet été avant que je parte. On travaillait ensemble et dès qu’on finissait vers les minuits, on allait dévergonder partout dans Montréal. Montréal. C’est ça. Entre notre amitié, il y a Montréal. Et tant qu’il y aura Montréal, on trippera. On est deux amoureux fous de Montréal. Notre passage dans la ville de Québec nous l’a montré. Nos folles errances de cet été nous l'a confirmé. (...)

Je suis à Paris et lui à Québec. Ouais, ouais... ça passera. (soupirs)

Salut Benito!

0 Comments:

Post a Comment

<< Home